De gauche à droite !

Où vous considérez-vous sur l'échiquier politique et pourquoi ?

Je me condidère de gauche.

Je suis de centre-gauche du fait que je priorise l'aide à la population et la force de la collectivité tout en essayant de préserver une économie durable et prospère.

Je suis de gauche parce que je ne crois pas au capitalisme, tout simplement, ceci dit, je cherche encore un système cohérent pour le remplacer! La logique marchande est entrain de détruire la planète, de causer des gaspillages de nourritures, d'énergie et de matériaux incroyables. De plus, en tant qu'humaniste, je ne veux rien savoir d'un système qui favorise les riches continuellement, l'exploitation de l'homme par l'homme doit cesser ou du moins diminuer drastiquement. À ceux qui dise que la gauche n'a pas le monopole des vertus, je réponds que l'exploitation de l'homme par l'homme n'est pas une vertu.

DE «CENTRE-GAUCHE»


Je me suis déclaré de «centre-gauche». Ce n'est pas sans nuances que j'expliquerai ma position. Dans ma réponse, j'idéaliserai le modèle théorique «gauche/droite» traditionnel français. Je crois, au grand dam de ceux qui croient que «la gauche et la droite sont des concepts dépassés, que cette échelle sert toujours d'outil aujourd’hui pour qualifier les principaux courants politiques contemporains.

QUELQUE CHOSE À DROITE

D'abord, pourquoi «centre»-gauche plutôt que gauche, comme j'ai été tenté de répondre. Sans être de droite, il y a certains aspects de la droite [modérée] qui entre dans ma conception du «fonctionnement» de l’économie de marché. Comme capitaliste modéré, je crois à l’initiative individuelle, à l’innovation qui peut rapporter, et à une gestion responsable et prudente des fonds monétaires relevant du domaine privé (un concept à définir d’ailleurs). À l’instar d’une gauche propriétaire des desseins humains, je crois que l’offre et la demande sont des concepts inévitables sur le plan humain. C’est la réalité de la rareté [des ressources] et de la valeur [des services]. Aussi, privé de repères, l’économie se déconnecte des besoins réels de l’administration (la gouverne) et sa population (la consommation) et gère mal toute entreprise humaine. Ainsi, je crois que des balises de type utilisateur-payeur «à la sauce de gauche» doivent modérer les excès de certains membres de la société. Par exemple, je suis pour une somme indéterminée à payer pour aller voir le médecin, pour éviter une utilisation facultative des services publics. Y’en a marre des visites pour une p’tite grippe, quand un sirop vendu sans prescription, ou encore le temps, peut régulariser ça en quelques jours, sachant qu’un médecin n’y pourrait rien de plus.

Résolument nationaliste
Ensuite, puisque plusieurs analystes et politologues, surtout européens, cataloguent le nationalisme comme étant de droite, j’y insérerai ma vision des choses, sans approuver toutefois ce jugement. Pour moi, le nationalisme n’est ni de droite, ni de gauche. C’est peut-être parce que, comme Québécois, je suis issu d’un «nationalisme d’émancipation». Qu’importe. Je suis un ultranationaliste qui voue au Québec une loyauté suprême et absolue. Je crois en la supériorité de l’intérêt national. Je suis donc un étatiste, par contraste aux individualistes libéraux. J’y reviendrai peut-être dans un autre texte, si le besoin se fait sentir, parce que je pourrais écrire un texte tout aussi long à ce sujet seul.

DANS UNE GAUCHE CONFORTABLE

Me considérant davantage de gauche que de droite, ma vision de l’État inclut son intervention dans l’économie. Je me dois de la définir, puisque le politique inclut l’économique dans notre état actuel contemporain. J’irai directement. Je crois anormal et illégal qu’un individu comme les autres puisque tirer profit d’une ressource naturelle par appropriation. Car une ressource naturelle simple ne saurait appartenir à qui que ce soit puisqu’elle appartient à tous. Mais attention. Le raffinage, la transformation et la production peuvent être du domaine privé. Ce n’est pas parce que j’ai trouvé du pétrole qu’il m’appartient. Il appartient à tous. Ce qu’il m’appartient à moi, c’est de le transformer en produit pour le vendre à d’autres, dans une logique de concurrence. Mais la nature même ressource comme telle ne pourrait inclure le concept de propriété. C’est ce qu’on en fait qui nous appartient. C’est le produit de mon innovation, exprimée plus haut. C’est pourquoi je crois à la nationalisation des ressources naturelles et des grandes industries monopolistiques. Car il est, au risque de me répéter, inconcevable que quelqu’un puisse à lui seul tirer profit d’une ressource collective.
Également, je suis progressiste à bien des égards. Je suis, vous l’aurez comprit, non seulement en faveur de la décriminalisation de la marijuana, mais aussi pour sa légalisation, tout comme la poursuite fonctionnelle de la légalisation, c’est-à-dire la nationalisation. Il serait long d’entrer dans les détails, mais l’État doit avoir une main mise sur la ressource, sans avoir l’exclusivité de la production. Dans un autre ordre d’idées, je suis pour l’égalité des sexes, la mariage gai, et idéalement une juste représentation naturelle à l’assemblée législative, mais sans incitatif étatique.

Finalement, j’espère avoir bien exposé ma vision du Québec et ce que doit être l’État pour une société. Aussi, j’espère avoir droit à une délibération semblable des plus ferrés d’être vous. Merci.

Je me considère très gauchiste et mes idées sont la pour le prouvé.
- Nationalisation ou Réglementation sévère de tout ce qui touche les besoin essenciel du peuple
- Nationalisation des ressource naturel exploité à des fin commercial
- Carte magnétique de consomation( bons)
- Destruction total du fléau qu'est la drogue sur le marché noir( je ne me prononce pas sur le fait de la nationalisé par la suite)
- Commerce équitable seullement ( comme sa il va y avoir de la pression sur les pays, tu veux vendre au Qc bha paye tes employer un salaire qui à de l'allure)
- Nationalisation des assurances
- Contre les Banques
- Réduction de l'écart salarial par le haut ( stoppé les augmentation de salaire des haut salarier et faire monté plus vite les bas salarier pour atteindre un écart acceptable)
Voici quelques points qui démontre bien les grandes lignes de ma pensé. Je suis gauchiste aussi car je pense que l'argent ne dois pas être concentré dans les poches d'un individu et que le bien être de tous est plus important que quelques dolards d'économie. Je pense pas que le americain dream c'est vraiment une valeur que l'on dois prôné dans une société et vu que la ou il y a de l'homme il y a de l'hommerie, les gens vond tjrs vouloir tiré un bout de la couverture la seul solution rapide c'est de faire des lois contre sa et de les APPLIQUER... ce que les gouvernement ne fond pas tjrs. Aussi je pense que le Québec ne devrais faire que des missions de casque bleu, c'est pas en exterminant un partie radical que on va reglé le problème( imaginé si les états-unis était débarqué tiré les gars du FLQ... le monde aurait tellement embarqué dans la violance pr tué les soldats). Je pense que on devrai avoir une société TOTALEMENT Laic comme en turquie donc pu d'acommodement raisonnable...

Au Québec, on a encore un vieux fond catholique ; un vieux fond qui nous fait avoir un dédain de la prospérité.

À en croire plusieurs, il faudrait que tout le monde ait les avantages, sans aucun effort.

J'ai répondu de centre à la question du sondage, pour les raisons qui suivent. Ceux qui me connaissent personnellement reconnaîtront mes arguments habituels.

- L'économie de marché est le seul système économique qui vaille selon moi. L'offre et la demande sont les règles fondamentales de notre système économique et elles doivent le rester.

- La richesse, pour être partagée, doit d'abord être créée.

- L'État n'a pas toujours les capitaux nécessaires aux investissements dans plusieurs secteurs économiques.

- Le secteur privé se doit d'assumer des risques ; ce que l'État n'a pas le mandat de faire.

- L'individu a une responsabilité individuelle quant à son sort. Bien au delà des déterminismes, l'Homme a, en lui, la plupart des outils pour être en mesure de se réaliser à tous les niveaux. Encore faut-il le vouloir et ne pas se conforter dans sa médiocrité.

Bon, jusque là, j'ai l'air d'un gars de droite.

Par contre, je suis bien conscient que nous ne partons sur la même ligne de départ dans cette grande course à obstacle qu'est la vie, c'est pourquoi :

- Il faut que l'État règlemente certains secteurs économiques, mais seulement lorsque est nécessaire. Cette anomalie dans le système capitaliste se doit d'être modérée et idéalement temporaire. Par exemple, ce n'est pas à l'État de gérer une compagne d'aviation. (Air Canada, jadis).

- L'État peut prendre contrôle de certains secteurs de l'économie non - essentiels pour la simple et bonne raison qu'ils ne constituent aucun risque et qu'il est avantageux pour l'État de les garder ainsi et qu'ils génèrent des profits plus intéressants que les revenus fiscaux qu'ils produiraient en étant privés. Ex. SAQ.

- L'État, par solidarité, se doit de mettre des programmes en place pour aider l'Homme à être maître de son destin, à se prendre en mains. Le rôle de l'État est d'atténuer les effets néfastes du capitalisme afin que tous puissent partir équitablement au même niveau. Par contre, cette aide gouvernementale ne doit pas être un support à long terme et doit aussi, dans un contrat social, impliquer une responsabilité majeure de l'individu. Ce dernier doit s'engager rendre à la société d'une façon ou d'une autre ce qu'elle lui a donné. Ex : Les prêts bourses.

- L'État doit, par son régime de taxation, être équitable envers tous les citoyens. Équitable selon moi, cela veut dire oui, des impôts progressifs. Mais 40% des citoyens qui ne paient pas d'impôts, il y a un problème quelque part.

Bon, assez pour le moment. Mais pour résumer, je me crois de centre pour la raison suivante :

L'État offre des programmes présentement à tous ceux qui veulent bien s'en sortir. À l'indivudu d'utiliser les outils qu'il a à sa disposition.

Notez bien que je ne dis pas que tout est parfait. Tout est perfectible.

Je considère pour ma part que l'économie de marché tire à sa fin. En effet, alors que bien des gens croient que ce système a bien réussi à cause du fait qu'il n'y a pas beaucoup de gens sous la barre des 20000$/an je tiens à vous annoncer deux choses. Premièrement, le prolétariat s'étant à une population plus vaste que les 20000$ (de toute façon être pauvre n'est pas seulement au point des revenus mais aussi sur son contrôle sur son avenir) et moins et deuxièmement la pauvreté dans sa forme la plus horrible a simplement été déplacée hors de la vue médiatique. Pas assez de travail dites-vous? Eh bien, à tous ces dévots du dogme capitaliste je répond que pour le capitaliste il est primordial de diminuer la valeur du travail en créant une sur-offre (le chomage) et la seule solution à ce problème respectant les profits est la création de nouveaux besoins (voir ici la catastrophe écologique inévitable)

Non, ce qu'il nous faudrait, c'est une économie où les besoins essentiels (santé, électricité) seraient nationnalisés comme actuelllement, où les grandes et moyennes entreprises seraient également nationnalisées (mais où la gestion serait de style privée avec concurence entre entreprises d'État et loi du marché) ou bien en coopératives de production (privées) et où la distribution serait fortement réglementé mais privée. Ainsi il faudrait que le peuple soit actionnaire majoritaire (par l'État ou les coopératives) de sa société.

Évidemment, cela implique une démocratie plus participative du genre des périodes de temps obligatoire à l'intérieur des entreprises pour discuter des problèmes et solution dans l'entreprise et la société en général, il faudrait aussi des assemblées populaires aux hôtels de ville ainsi que une transparence absolue du budjet étatique (une sorte de gros programme informatique où serait inscrit toutes les dépenses gouvernementales).

Toutefois il faudra changer nos habitudes go-gauchière dans l'administration publique en gérant de façon beaucoup plus stricte les caisses de l'État. Idéalement, il faudrait étendre ce système à un grand nombre de pays (c'est un système macro-économique tout comme le capitalisme).

Pour ce qui est de la transition, il s'agirait globalement de commencer par nationnaliser les entreprises les plus lucratives et les moins risquées et commencer immédiatement à gérer en «gars de droite». Nos mesures sociales actuelle ne servent que de «plaster» sur les problèmes inhérants au capitalisme, elles seront toujours que temporaires et inefficaces puisque le vrai pouvoir est d'abord économique et non pas politique (c'est à la bourse que le peuple a besoin de son droit de vote)

La richesse peut être créé mais la majeure partie est gaspillé pour le luxe et les volontés dérisoires de certains individus.

Vous l'avez deviné, je suis communiste et j'attends avec impatience de pouvoir m'occuper de la lutte des classe aussitôt la lutte nationnale achevée.

Autre chose, rappellons-nous quele capitalisme par son individualisme et son culte de la performance entraîne intrisèquement des valeurs égoïste mène indirectement au taux de suicide actuel au Québec. Le navire capitaliste est semblable à un navire doté du meilleur moteur au monde mais sans aucun gouvernail qui fonce dans un récif...Prolétaires de tous les pays unissez-vous.

Et vous, Mister President, je vous renvoie la question où vous situez-vous?